Le virus,
des quelques cas à une pandémie mondiale
L’apparition du virus COVID-19 débute en Chine en décembre
2019.
Cette maladie est d’abord confinée au seul pays Chine, dont le gouvernement tente de dissimuler le problème. Il se fait connaitre au reste du monde tout en s rependant dans les médias proportionnellement aux nombres de personnes infectées.
Après tout le continent asiatique, et ses 40000 personnes infectées par le virus, celui-ci se repend en Europe puis très vite dans le reste du monde, notamment aux USA.
Cette maladie est d’abord confinée au seul pays Chine, dont le gouvernement tente de dissimuler le problème. Il se fait connaitre au reste du monde tout en s rependant dans les médias proportionnellement aux nombres de personnes infectées.
Après tout le continent asiatique, et ses 40000 personnes infectées par le virus, celui-ci se repend en Europe puis très vite dans le reste du monde, notamment aux USA.
En Mars 2020 la planète entière est touchée et le nombre de
décès explose de manière exponentielle. La situation de pandémie mondiale de
COVID-19 est reconnue par l’OMS (Organisme Mondiale de la Santé) le 11 mars
2020 soit plus de deux mois après les premiers cas en Chine.
Ce virus serait un proche cousin du SRAS. Autre virus apparu
aussi en Chine 18 ans plus tôt et ayant fait moins d’un millier de morts. Il s’attaque
principalement au système respiratoire, les patients infectés peuvent mourir
d’étouffement si la prise en charge est trop tardive.
En France, on annonce le confinement de la population le 17
mars, il est déjà trop tard, le virus infecte plusieurs milliers personnes
chaque jour. 15 jours plus tard, 3 milliards d’humains sont confinés.
Un impact sanitaire catastrophique, le monde du sport exsangue.
Un impact sanitaire catastrophique, le monde du sport exsangue.
Les gens devant rester chez eux, toute l’économie est à
l’arrêt. Les établissements recevant du public (ERP) sont obligés de fermer
tels que les écoles, les universités, les cinémas, les restaurants mais aussi
les établissements sportifs comme les piscines, les stades, les salles de fitness.
La situation sur le monde du sport, notamment en France, est
simple à énoncer : la pandémie due au COVID-19 a stoppé net toute compétition
du plus petit tournoi au championnat national et par conséquent l’économie du
sport et aussi à l’arrêt. Les règles de distanciation sociale préconisées par
l’OMS afin d’éviter la contamination entre individus se sont généralisées dans
tous les pays touchés par cette crise sanitaire.
Les sportifs professionnels préparant ici une course
qualificative pour les championnats de France natation, là un match de qualification
pour la Ligue 1 sont relégués à domicile.
On ne compte plus les championnats, toute discipline
confondue, reportés de quelques mois ou à l’année prochaine. C’est le cas des
Jeux Olympiques de Tokyo reportés en 2021.
Même le monde de l’e-sport n’a pas résisté. Bien que les
compétitions de jeux vidéo se déroulent principalement en réseau donc
potentiellement à distance, plusieurs rendez-vous majeurs comme l’E3 et la Game
Developers Conference, ont respectivement été annulés et reportés à cause du
virus.
Les technologies à la rescousse
Distanciation sociale oblige, pour éviter la contamination,
on voit donc fleurir toutes sortes d’initiatives online, afin de pallier au
manque d’activité physique dites traditionnelles, en groupe et au sein d’établissements
sportifs. Les solutions des technologies internet et multimédia apportent une
alternative en attendant mieux pour certains et un vrai mode d’entrainement pour
les autres.
Personnellement je sors faire un footing d’une heure à un
rythme de 2 à 3 fois par semaine. J’ai remplacé les entraînements de natation
et de vélo par des séances de fitness à domicile ou workout, un mélange de gymnastique
et de musculation (appelé aussi callisthénie).
Des applications sur smartphone ou des vidéos Youtube qui proposent ces types
de séances sont assez efficaces mais ne peuvent pas remplacer la fonction de
coach.
En effet, bien que les mouvements, le rythme et les
enchaînements sont bien exécutés sur certaines vidéos cela atteint assez vite
ses limites ; Sans objectifs clairs et réalistes la motivation est parfois
difficile à garder. Le fitness « à la maison » sans un vrai coaching demande
une grande rigueur dans sa détermination et le respect d’un planning d’activités.
Des séances vidéos avec un vrai coach, le top du fitness dans mon salon ?
L’idéal reste les séances vidéos sonorisées de type workout
diffusées en live sur Facebook. Les séances sur internet, « à
distance », prennent sens. Un « vrai » coach, bien
réel, réalise la séance en diffusant en direct avec du son et chat en temps
réel à tous les pratiquant connecté à la plateforme. Il peut discuter avec tous
via webcam interposées. La manière de coacher doit forcément subir quelques
adaptations, mais tant que le coach explique bien l’exécution des mouvements et
s’assure que les pratiquants comprennent les objectifs la séance est réussie. La
fonction de coach est certes différente d’une séance en présentielle, mais reste
efficace.
Finalement, l’impact
sur les pratiques sportives des sportifs hors compétition peut être
relativement limité. Jouant de leur créativité les coaches rivalisent de
solutions alternatives via les nouvelles technologies prouvant toujours leur
capacité à s’adapter aux situations nouvelles.
Côté sportifs de haut
niveau le bilan est assez lourd. Leurs revenus souvent déjà faibles ainsi que
leur rythme d’entrainement se trouvent très impactés. Peut-être y-a-t-il une
leçon à en tirer, de là à ce que les J.O se déroulent en partie sur les
plateformes digitales, on peut toujours l’imaginer.
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